lundi 11 décembre 2017

Le vrai revenu de base


          
                 En principe, le revenu de base consiste à donner à chaque individu, riche ou pauvre, de sa naissance à sa mort et sans obligation de travail, une somme déterminée à laquelle peuvent s’ajouter d’autres ressources (salaires, profits et rentes). Une littérature considérable s’y consacre en s’inspirant de visions concurrentes exprimées par des écologistes, des libéraux, des altermondialistes ou des philosophes. 
              
              Notre rapport présente un projet clé en main, en exposant les montants requis, le financement et la mise en place.           

          Le premier chapitre explique brièvement pourquoi le revenu de base est indispensable. La robotisation et l’intelligence artificielle risquent en effet  de se traduire dans notre pays par une augmentation du chômage et une faillite de notre modèle social. Il faut donc  allouer des ressources à tous ceux  qui vont perdre leur travail dans les années à venir.

             Le second chapitre calcule le montant du revenu de base de telle sorte qu’il dépasse le seuil de pauvreté  et qu’il augmente le niveau de vie de la majorité des ménages par rapport à leur situation actuelle. À partir de simulations portant sur différents cas (familles au chômage ou avec un SMIC, classes moyennes, fonctionnaires, groupes aisés, retraités) nous avons défini la règle suivante : tous les Français reçoivent 200 euros par mois de la naissance jusqu’à leur vingtième année puis 1000 euros jusqu’à 60  ans et  ensuite 1500 euros jusqu’à leur décès. Ces montants sont défiscalisés et universellement accordés sans distinctions de fortune.

          En contrepartie, les prestations sociales sont supprimées. Les cotisations et la CSG prélevées sur le salaire doivent donc être restituées au travailleur. Un tel  transfert double parfois la rémunération nette et permet aux familles de souscrire des assurances privées pour couvrir le risque de la santé. Toutefois, les ménages démunis continuent à bénéficier d’une gratuité totale des soins. Par ailleurs, un régime par capitalisation se substitue aux retraites,  mais à titre transitoire, les pensionnés actuels et les actifs en cours de carrière perçoivent le produit des droits qu’ils ont accumulés. 

             Le troisième chapitre démontre que le revenu de base n’aggrave pas la situation des finances publiques. En effet, son coût s’élève à 701 milliards, mais on doit en déduire les dépenses de protection sociale qui atteignent 747 milliards en 2015 ! Sa mise en place impose néanmoins le remplacement des cotisations et de la CSG reversées aux salariés par des ressources provenant d’une hausse ou d’un élargissement de l’assiette des impôts existants. Il faut aussi se projeter dans l’avenir en évaluant ce que deviendront les données économiques et financières en relation avec une diminution drastique de la masse salariale. Cet  exercice montre qu’en dépit de l’augmentation du nombre de personnes oisives, le déficit public se réduira et que les produits du patrimoine joueront un rôle croissant dans  le revenu des Français.  

          En définitive, ce projet augmente le niveau de vie des ménages, à l’exception des retraités actuels les plus aisés, tout en conservant des garanties identiques ou améliorées en matière de santé et de retraite.

          Le basculement dans le nouveau système devra s’effectuer en une nuit  comme dans le cas du passage du Franc à l’Euro. Les préparatifs techniques sont relativement simples, mais un délai préalable s’avère nécessaire pour engager un immense effort de pédagogie en direction du public. À cet égard, il convient de distribuer le plus tôt possible à tous les ménages un fascicule reprenant les données qui figurent ici afin de surmonter des peurs irrationnelles.

           Notre précis comptable et financier s’applique au seul cas de la France. Il proscrit les considérations idéologiques et s’en tient à des faits chiffrés et documentés. Sauf indications contraires, toutes les statistiques proviennent des derniers tableaux économiques édités par l’INSEE. Des notes, une brève bibliographie et deux annexes complètent le corps du texte qui se veut clair et concis afin que les décideurs politiques puissent concevoir aisément cette importante réforme de notre société en vue de la mettre en œuvre sans tarder.

#revenu de base; revenu d'existence; revenu universel


jeudi 3 août 2017

La vraie nature de Dieu


          Pour enchanter vos vacances, je vous invite à lire mon dernier essai « La vraie nature de Dieu » que vous pouvez acheter sur Amazon au prix de 10 euros en cliquant sur le lien suivant : https://www.amazon.fr/dp/2841913392/ref=sr_1_1?s=books&ie=UTF8&qid=1499529446&sr=1-1&keywords=la+vraie+nature+de+Dieu.

          Ce court traité philosophique s’inscrit dans le sillage du Pythagorisme et de l’immatérialisme de Berkeley. Il souligne tout d’abord les failles du matérialisme et explore ensuite  la position inverse en éliminant la matière. On débouche ainsi sur un Esprit universel (Dieu) qui englobe nos propres consciences et qui pense toute la réalité de l’univers.

          L’ouvrage proscrit les causes surnaturelles ou ésotériques  et se fonde sur des hypothèses logiques que l’on peut critiquer mais qui apportent une solution élégante au problème classique des relations entre le corps et l’esprit. Elles ont donc toutes les chances de se révéler véridiques.

          Ces spéculations paraitront fort éloignées  de notre combat habituel mais ce traité  vous dote aussi d’armes psychiques révolutionnaires pour atteindre nos buts et vaincre nos adversaires.  Lorsqu’on ne peut plus rien attendre du peuple et de ses gouvernants, il faut s’en remettre aux mages  et à la mobilisation des forces de l’esprit.




dimanche 20 décembre 2015

Excellente critique du "Choc des ethnies "


Il m'est agréable de reproduire ici la critique d'Enquêtes et débats consacrée à mon ouvrage sur le choc des ethnies.  
Quand un livre est préfacé par Renaud Camus, l’un de nos meilleurs écrivains, on ne peut résister à la tentation de dévorer son texte.
Et l’on a bien raison ! Car l’un comme l’autre, le préfacier comme l’auteur, nous régalent, l’un par son style exceptionnel jusque dans une simple préface, et l’autre par l’acuité de son raisonnement et surtout le caractère sérieux et scientifique de ses analyses très politiquement incorrectes. Mais fondées sur des faits irréfragables, hélas.
Renaud Camus remarque que l’une des conditions de l’interchangeabilité générale des hommes, des femmes, des sexes, des peuples, bref tout ce qui met en place le Grand Remplacement, repose, entre autres, sur la suppression du mot « race » dont il regrette que Gérard Pince ne l’ait pas utilisé, tout simplement. Renaud Camus rappelle également le sort que le parti « Les Remplacistes » (à moins que ce ne soit « Les Républicains » ?), a fait subir à Nadine Morano pour avoir simplement cité une phrase du général de Gaulle dans laquelle ce mot est utilisé.
Renaud Camus souligne dans ce livre l’appel désespéré que Gérard Pince lance aux européens« abrutis par le philtre de la mauvaise conscience » ; « Réveillez-vous ! Levez-vous ! Révoltez-vous ! Battez-vous ! ». Telle est l’exhortation qu’il nous lance…
Par ce traité, Gérard Pince veut « désenvouter les Français » ; selon lui « toute l’histoire est celle de la lutte des ethnies pour s’approprier les ressources nécessaires à leur survie ». Son essai consiste donc à analyser la situation d’aujourd’hui : « des peuples s’attaquent à l’occident pour obtenir par la violence ce qu’ils sont incapables d’obtenir par leur talent ». Avec le progrès technologique, on a moins besoin de s’emparer des populations pour les faire travailler, mais le risque d’éradication de masse reste grand…
Ce livre se divise en cinq parties : la prédation qui présente l’économie de la préhistoire (cueillette, chasse et anthropophagie) ainsi que celle des temps historiques; la conquête ethnique est présentée comme un vrai système économique bien plus crédible que le mythe de la lutte des classes.
La deuxième partie traite des rapports entre l’économie et l’intelligence, qui est le premier facteur de développement. De ce fait, l’économie de l’intelligence profite surtout à l’Occident, et génère dans les autres ethnies une certaine forme de ressentiment. Certaines ethnies restent en retard, elles ont peu de scientifiques et d’inventeurs. Entre l’inné et l’acquis, Gérard Pince refuse de trancher, mais il observe tout de même que certaines « inégalités de développements pourront se réduire dans un lointain avenir mais elles représentent pour le moment un phénomène durable ». p 105 Il reconnait ne jamais s’être senti à l’aise en pays arabo-musulman « des gens qui sont entièrement tournés vers le passé ». P 107
L’analyse suivante concerne la globalisation qui commence en 1990 et voit la mise en place d’une nouvelle caste dominante. Il s’agit d’un extraordinaire transfert de richesses de l’Occident vers le Tiers Monde pour évacuer les surplus industriels. Le moyen en est la culpabilisation des Occidentaux qui sont accusés de tous les maux de la terre et « doivent expier en acceptant de se laisser dépouiller ». Entre 2000 et 2012, les investissements français à l’étranger s’élèvent à 330 milliards d’euros pour une perte équivalente de plusieurs centaines de milliers d’emplois en Europe. La convergence économique n’est pas au rendez-vous et on assiste à une fragmentation des états, à une anarchie croissante et à un recul extraordinaire des droits des femmes corrélativement avec l’expansion de l’islam.
La quatrième partie montre la déflagration ethnique consécutive à l’échec de la mondialisation ; on assiste à une immigration de masse qui se transforme vite en une invasion. Les peuples arrivent en premier, incluant des éléments radicaux qui organisent le remplacement des autochtones. A terme, les Français connaîtront le même sort que les chrétiens d’Orient.
La cinquième partie répertorie les mesures à prendre pour conjurer le péril ; arrêter les flux de migrants, mettre hors d’état de nuire les islamistes radicaux et neutraliser les puissances islamiques. Il faudra aussi interdire toute relation avec le monde musulman, et « maintenir une libre circulation des personnes et des biens au sein d’aires géographiques réservées aux ethnies civilisées ».
En conséquence « notre survie exige une prise de conscience ethnique de la situation mondiale », car l’histoire n’est pas tendre « avec les zombies qui perdent leur instinct de conservation ».
Gérard Pince, en conclusion, nous indique qu’il a écrit ce livre à l’intention des générations « élevées dans la culture du mensonge et qui ne parviennent plus à s’en arracher ».
Il croit cependant qu’ « une constellation de citoyens énergiques ne se soumettra jamais ».
En réalité, il nous demande tout simplement d’avoir le courage d’en être afin qu’ainsi, il reste « un chemin pour l’espérance ».

mercredi 4 novembre 2015

Le choc des ethnies- Préface de Renaud Camus


Mon nouvel essai « Le choc des ethnies- Vers le génocide des Français ? » vient de sortir en librairie avec une préface de Renaud Camus, l'illustre écrivain  du Grand Remplacement. Je cite ici la conclusion de cette preface:

" On peut faire bien des reproches à Gérard Pince, et les chiens de garde de l’indifférenciation globale n’y manqueront pas, avec plus ou moins de rage ; on ne saurait le taxer de tiédeur et de cautèle. Au contraire, c’est sa vaillance intellectuelle, son ardeur au combat, sa résolution sans faille à se précipiter la lance au poing dans les plus traîtreux bosquets et les plus redoutables mêlées, qui maintiendront son lecteur dans un état de sur-éveil perpétuel, éminemment jouissif. Il faut bien qu’il y ait quelque avantage littéraire et conceptuel à penser mal, c’est-à-dire — dans les périodes de sévère répression idéologique comme la nôtre — à penser bien, ou tout simplement à penser.

Je ne partage pas nécessairement toutes les vues de notre auteur, bien que je me sente très proche de la plupart de ses analyses et partage la majorité de ses conclusions. J’allais écrire qu’il importait peu qu’on y adhérât  ou pas, qu’on pouvait fort bien lire ce livre avec passion sans s’abandonner pour autant à l’élan subversif qui le sous-tend. Mais pareil détachement serait, de ma part, manque de sincérité. En effet, malgré ses tableaux, ses chiffres et ses données statistiques, Le Choc des ethnies est un râle, un appel, un avertissement, comme les objurgations de plus en plus pressantes de Brangaine, dans Tristan.

« Réveillez-vous ! Levez-vous ! Révoltez-vous ! Battez-vous ! », hurle Gérard Pince aux Européens abrutis par le philtre de mauvaise conscience  que leur a fait boire dès l’enfance la redoutable pédagogie, et dont leur ressert une coupe tous les matins et tous les soirs la propagande.

Il va sans dire que je considère comme un devoir et comme un honneur de faire écho à son cri. "

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vendredi 24 juillet 2015

Annonce de la sortie prochaine du "Choc des ethnies"

          

Je vous annonce la sortie en Octobre-Novembre 2015 de mon nouvel ouvrage intitulé « Le choc des ethnies » avec en sous-titre « Vers le génocide des Français ». S’il n’est pas censuré, ce traité fera l’effet d’une bombe lancée sur la société du mensonge.
                                                                           
           Un danger mortel menace les Français. Ils ne le savent pas. Ils ne veulent pas voir les multitudes qui se rassemblent sous la bannière de l’islamisme. Ils n’entendent pas le porte-parole du Califat qui appelle au meurtre de tous les infidèles. Ces menaces émanent d'enragés mais on sait bien que les minorités activistes contaminent souvent une majorité. Les crimes de Mohamed Merah, des frères Kouachi, de Coulibaly et de bien d’autres ne signalent-ils pas l’imminence de ce basculement ? Doit-on se résigner à voir les synagogues et des églises gardées en permanence par la police et l’armée ? Peut-on ignorer l’antisémitisme des banlieues qui oblige de nombreux juifs à quitter la France ? Pour quelles raisons le sort qui attend les Français serait-il différent de celui des chrétiens d’Orient ? Au nom de quoi seraient-ils immunisés contre une telle catastrophe ? Alors que les attentats contre un journal satirique auraient dû susciter un légitime sursaut, des millions de compatriotes ont préféré se rassembler pour brandir des crayons et clamer leur refus de tout amalgame au nom du « Vivre ensemble » ! Que peut-on faire pour combattre cette inconscience qui prédispose notre pays à connaître une issue fatale ?

          Ce traité veut désenvoûter les Français en privilégiant une approche économique qui plonge ses racines dans les profondeurs du temps et de l’espace. Les hommes ne vivent pas dans un jardin d’Éden où tous les biens seraient disponibles à profusion. Certains groupes renforcent leur agressivité pour s’en emparer par la conquête tandis que d’autres s’appuient sur le commerce et le progrès technique. Toute l’histoire est ainsi celle de la lutte des ethnies pour s’approprier les ressources nécessaires à leur survie.
        
           De nos jours, l’économie repose sur le progrès technique mais que se passe-t-il lorsqu’il accroît les inégalités entre peuples d’une manière considérable ? Certaines ethnies ne disposent pas d’assez de scientifiques et d’inventeurs pour se développer. Elles se regroupent au nom de l’islam pour obtenir par la violence ce qu’elles sont incapables d’acquérir par leurs talents. Cette confrontation ethnique est comparable à celles qui ont marqué le passé. Elle se traduit toujours par l’invasion d’un territoire et la sujétion de ses habitants. Autrefois, on conservait parfois les vaincus pour servir comme esclaves. Depuis que les machines les ont remplacés, le risque de leur extermination devient plus grand. Des solutions existent pour conjurer la menace génocidaire mais qui aura le courage de les appliquer tant qu’il en est encore temps ?

          Notre impuissance actuelle résulte d’une idéologie malfaisante qui postule que les ethnies sont semblables, qu'elles aspirent à vivre ensemble et que les Européens portent la responsabilité de tous les crimes du passé. Nos compatriotes en viennent à se haïr et ce masochisme obscène incite les autres à nous agresser. Que nous le voulions ou non, l’homme est d’abord un animal régi par les lois de la sélection naturelle et de la lutte pour la vie. L’évolution enseigne qu’au sein du monde vivant, certaines races prolifèrent tandis que d’autres s’éteignent pour des raisons diverses. Nous devons bien comprendre que ce darwinisme s’applique aussi à notre espèce par le biais du choc des ethnies. La nature n’est pas tendre avec des zombies qui perdent leur instinct de conservation ! Notre survie exige donc une prise de conscience ethnique de la situation mondiale. Cet essai en donne la propédeutique et il n’est pas encore trop tard pour réagir. Une constellation de citoyens énergiques ne se soumettra jamais ! Tant qu’elle brillera, il restera un chemin pour l’espérance.

    

vendredi 29 août 2014

Critique d'enquètes et débats sur les carnets de Françoise Stern

Voici une excellente critique d'enquêtes et débats

http://www.enquete-debat.fr/archives/les-carnets-de-francoise-stern-de-gerard-pince-aux-editions-godefroy-de-bouillon-51445

sur mon cinquième roman intitulé "Les carnets de Françoise Stern:
"Voici un roman très agréable à lire et dans lequel on est comme happé par l’aventure terrible que traverse la narratrice.  On ne sait jamais trop si l’on est dans la fiction ou dans le réel le plus cruel et le plus sordide.  Ce sont donc ses carnets qu’elle nous livre, comme une épreuve de vie, une bouteille jetée à la mer, en ultime témoignage d’une vie brisée et qui a voulu se frotter aux plus cruels dont elle n’a pas su se retenir de tomber amoureuse.
C’est aussi l’histoire d’une conversion ; une femme pétrie de certitude et de supériorité, imbibée de bonne conscience marxiste, grande intellectuelle, juive athée, elle se retrouve confrontée à deux événements historiques majeurs du XX ème siècle. Emportée par ses amours, elle va peu à peu basculer ; amenée à trahir, elle se sent responsable et perd pied.
Mais c’est aussi une femme au caractère fort capable d’assumer ses convictions mais aussi de les abandonner lorsqu’elle sent qu’elle fait fausse route. Quitte à se retrouver seule comme assassinée socialement, pour cause de déviance idéologique. On croyait cette époque révolue ; il est clair qu’il n’en est rien et que la peine de mort, symbolique ou non, reste la sanction « normale » pour des doctrinaires purs et durs. Surtout lorsqu’ils savent qu’ils ont torts.
Au cœur de tout cela il y a une réflexion sur cette effrayante culpabilité raciste anti blanc, cette haine culturelle de soi qui règne en maître dans l’intelligentsia française et semble la  partie la plus grave et plus irréversible de notre mort annoncée.  Ce très court échange en est le révélateur (P121)
« -Je m’interroge sur l’anatomie du mal. Les Européens ont commis des crimes innombrables : la traite des Noirs, la colonisation, l’apartheid, l’accaparement des deux Amériques et de l’Australie avec pour conséquence l’extermination des Indiens et des aborigènes. Les famines la pauvreté et le réchauffement climatique résultent aussi d’une économie dominée par les Blancs et orientée vers la satisfaction des besoins superficiels d’une minorité. L’Israélien viril et martial représente le dernier avatar de cette conquête du monde. Cette hérésie trahit le génie du judaïsme alors que nous avons toujours été le catalyseur des révoltes et la vigie annonciatrice des grands malheurs !
-Je t’en prie ne retombons pas dans le narcissisme  identitaire juif !
-Il faut métisser l’homme blanc qui est l’incarnation du mal. Je me demande souvent si la lutte des races n’a pas précédé celle des classes. En ce sens le brassage de toutes les ethnies est bien un préalable à la société dont tu rêves avec tes amis communistes. »
Il est établi que seul l’homme blanc a commis tous ces crimes, et que Gengis Khan comme Tamerlan  ou encore les esclavagistes noirs et musulmans n’ont jamais exercé de nuisances où que ce soit.
Parmi les accroches historiques de ce roman, il y a  le « Holodomor » qui fut une mise à mort par la faim de nombreux, de centaines de milliers voire de millions d’Ukrainiens, de façon délibérée par des policiers soviétiques. Les victimes étaient des paysans chrétiens que l’on privait de leur récolte et dont on volait les semences de façon à s’assurer la mort certaine. Françoise Stern se retrouve quasi séquestrée par des inconnus après avoir pris des positions peu politiquement correctes vis-à-vis de sa communauté comme vis-à-vis de ses collègues ravagés de marxisme ;
« -Madame Stern, je représente le mémorial de l’Holdomor ! Avec vos thèses négationnistes, vous vous comportez comme une criminelle. On vous a pourtant plusieurs fois mis en garde !
-Je suis juif comme vous et j’habite Kiev. Vous n’imaginez pas le tort que vous nous causez. Vous ne pouvez pas ignorer la part prise par notre communauté dans ce malheur. Je suppose que des noms comme ceux de Lazare Kaganovitch, de Yagoda ou de Yezhof ne vous sont pas inconnus. Ils ont joué pour Staline le même rôle qu’Himmler pour Hitler. Il n’est pas étonnant que de nombreux Ukrainiens aient accueilli les Allemands comme des libérateurs, au moins au début ! »
De fait, il y eut beaucoup de responsables politiques et policiers juifs dans la mise en œuvre de ce massacre de masses. Mais il faudra établir s’ils ont agi en tant que soviétiques au service d’un régime de mort, ou comme juifs en haine des chrétiens. Cette question est à la frontière de la psychologie, de l’histoire, de la religion et de la politique. Cette participation de « juifs » à ce massacre est un champ d’étude très sensible mais que l’on devra analyser  sérieusement ;  le non-dit du Holodomor ne sert personne. Ce qui est sûr, c’est que des millions de paysans ont été affamés de façon volontaire par le régime communiste, et que, à la différence des héritiers du nazisme, il ne s’en est jamais repenti.
Françoise Stern se frotte aussi à un autre scandale qui est le prélèvement d’organes sur des prisonniers serbes par des tortionnaires kosovars, sous le mandat de M Kouchner en ex Yougoslavie. Là encore, les Serbes ayant été définis à l’avance comme des criminels parfaits, aucun média n’a insisté sur ce crime inouï qui a débouché sur des trafics d’organes.
Ce livre est un livre de passion et qui se lit comme tel. C’est aussi un roman d’espionnage que l’on ne quitte pas. On y est confronté à toute l’horreur de l’histoire, telle que les hommes l’écrivent. Et au malheur d’une femme qui s’est brûlé les ailes en s’approchant de trop prêt de fauves que personne ne contrôle mais dont parfois  les états se servent."
Gérard Pince

samedi 7 juin 2014

Nouveau roman: Les carnets de Françoise Stern Du génocide ukrainien au trafic d'organes du Kosovo


Françoise Stern, une historienne marxiste, part à la poursuite d’un criminel des guerres de l’ex-Yougoslavie. L’horrible trafic d’organes sur des prisonniers serbes et les souvenirs du génocide ukrainien vont bientôt la rattraper !

Obsédée par la lancinante question juive, comment réagit-elle à de terribles découvertes impliquant ses proches et qui bouleversent ses convictions et le sens de sa vie ?

Comme lors de mes précédents romans, je greffe une intrigue dramatique sur des événements réels souvent occultés par les médias. Ce roman décrit la folle randonnée d’une jeune femme perdue par ses fantasmes.

A commander sur Amazon ou sur le site de mon éditeur Godefroy de Bouillon..