dimanche 20 décembre 2015

Excellente critique du "Choc des ethnies "


Il m'est agréable de reproduire ici la critique d'Enquêtes et débats consacrée à mon ouvrage sur le choc des ethnies.  
Quand un livre est préfacé par Renaud Camus, l’un de nos meilleurs écrivains, on ne peut résister à la tentation de dévorer son texte.
Et l’on a bien raison ! Car l’un comme l’autre, le préfacier comme l’auteur, nous régalent, l’un par son style exceptionnel jusque dans une simple préface, et l’autre par l’acuité de son raisonnement et surtout le caractère sérieux et scientifique de ses analyses très politiquement incorrectes. Mais fondées sur des faits irréfragables, hélas.
Renaud Camus remarque que l’une des conditions de l’interchangeabilité générale des hommes, des femmes, des sexes, des peuples, bref tout ce qui met en place le Grand Remplacement, repose, entre autres, sur la suppression du mot « race » dont il regrette que Gérard Pince ne l’ait pas utilisé, tout simplement. Renaud Camus rappelle également le sort que le parti « Les Remplacistes » (à moins que ce ne soit « Les Républicains » ?), a fait subir à Nadine Morano pour avoir simplement cité une phrase du général de Gaulle dans laquelle ce mot est utilisé.
Renaud Camus souligne dans ce livre l’appel désespéré que Gérard Pince lance aux européens« abrutis par le philtre de la mauvaise conscience » ; « Réveillez-vous ! Levez-vous ! Révoltez-vous ! Battez-vous ! ». Telle est l’exhortation qu’il nous lance…
Par ce traité, Gérard Pince veut « désenvouter les Français » ; selon lui « toute l’histoire est celle de la lutte des ethnies pour s’approprier les ressources nécessaires à leur survie ». Son essai consiste donc à analyser la situation d’aujourd’hui : « des peuples s’attaquent à l’occident pour obtenir par la violence ce qu’ils sont incapables d’obtenir par leur talent ». Avec le progrès technologique, on a moins besoin de s’emparer des populations pour les faire travailler, mais le risque d’éradication de masse reste grand…
Ce livre se divise en cinq parties : la prédation qui présente l’économie de la préhistoire (cueillette, chasse et anthropophagie) ainsi que celle des temps historiques; la conquête ethnique est présentée comme un vrai système économique bien plus crédible que le mythe de la lutte des classes.
La deuxième partie traite des rapports entre l’économie et l’intelligence, qui est le premier facteur de développement. De ce fait, l’économie de l’intelligence profite surtout à l’Occident, et génère dans les autres ethnies une certaine forme de ressentiment. Certaines ethnies restent en retard, elles ont peu de scientifiques et d’inventeurs. Entre l’inné et l’acquis, Gérard Pince refuse de trancher, mais il observe tout de même que certaines « inégalités de développements pourront se réduire dans un lointain avenir mais elles représentent pour le moment un phénomène durable ». p 105 Il reconnait ne jamais s’être senti à l’aise en pays arabo-musulman « des gens qui sont entièrement tournés vers le passé ». P 107
L’analyse suivante concerne la globalisation qui commence en 1990 et voit la mise en place d’une nouvelle caste dominante. Il s’agit d’un extraordinaire transfert de richesses de l’Occident vers le Tiers Monde pour évacuer les surplus industriels. Le moyen en est la culpabilisation des Occidentaux qui sont accusés de tous les maux de la terre et « doivent expier en acceptant de se laisser dépouiller ». Entre 2000 et 2012, les investissements français à l’étranger s’élèvent à 330 milliards d’euros pour une perte équivalente de plusieurs centaines de milliers d’emplois en Europe. La convergence économique n’est pas au rendez-vous et on assiste à une fragmentation des états, à une anarchie croissante et à un recul extraordinaire des droits des femmes corrélativement avec l’expansion de l’islam.
La quatrième partie montre la déflagration ethnique consécutive à l’échec de la mondialisation ; on assiste à une immigration de masse qui se transforme vite en une invasion. Les peuples arrivent en premier, incluant des éléments radicaux qui organisent le remplacement des autochtones. A terme, les Français connaîtront le même sort que les chrétiens d’Orient.
La cinquième partie répertorie les mesures à prendre pour conjurer le péril ; arrêter les flux de migrants, mettre hors d’état de nuire les islamistes radicaux et neutraliser les puissances islamiques. Il faudra aussi interdire toute relation avec le monde musulman, et « maintenir une libre circulation des personnes et des biens au sein d’aires géographiques réservées aux ethnies civilisées ».
En conséquence « notre survie exige une prise de conscience ethnique de la situation mondiale », car l’histoire n’est pas tendre « avec les zombies qui perdent leur instinct de conservation ».
Gérard Pince, en conclusion, nous indique qu’il a écrit ce livre à l’intention des générations « élevées dans la culture du mensonge et qui ne parviennent plus à s’en arracher ».
Il croit cependant qu’ « une constellation de citoyens énergiques ne se soumettra jamais ».
En réalité, il nous demande tout simplement d’avoir le courage d’en être afin qu’ainsi, il reste « un chemin pour l’espérance ».

mercredi 4 novembre 2015

Le choc des ethnies- Préface de Renaud Camus


Mon nouvel essai « Le choc des ethnies- Vers le génocide des Français ? » vient de sortir en librairie avec une préface de Renaud Camus, l'illustre écrivain  du Grand Remplacement. Je cite ici la conclusion de cette preface:

" On peut faire bien des reproches à Gérard Pince, et les chiens de garde de l’indifférenciation globale n’y manqueront pas, avec plus ou moins de rage ; on ne saurait le taxer de tiédeur et de cautèle. Au contraire, c’est sa vaillance intellectuelle, son ardeur au combat, sa résolution sans faille à se précipiter la lance au poing dans les plus traîtreux bosquets et les plus redoutables mêlées, qui maintiendront son lecteur dans un état de sur-éveil perpétuel, éminemment jouissif. Il faut bien qu’il y ait quelque avantage littéraire et conceptuel à penser mal, c’est-à-dire — dans les périodes de sévère répression idéologique comme la nôtre — à penser bien, ou tout simplement à penser.

Je ne partage pas nécessairement toutes les vues de notre auteur, bien que je me sente très proche de la plupart de ses analyses et partage la majorité de ses conclusions. J’allais écrire qu’il importait peu qu’on y adhérât  ou pas, qu’on pouvait fort bien lire ce livre avec passion sans s’abandonner pour autant à l’élan subversif qui le sous-tend. Mais pareil détachement serait, de ma part, manque de sincérité. En effet, malgré ses tableaux, ses chiffres et ses données statistiques, Le Choc des ethnies est un râle, un appel, un avertissement, comme les objurgations de plus en plus pressantes de Brangaine, dans Tristan.

« Réveillez-vous ! Levez-vous ! Révoltez-vous ! Battez-vous ! », hurle Gérard Pince aux Européens abrutis par le philtre de mauvaise conscience  que leur a fait boire dès l’enfance la redoutable pédagogie, et dont leur ressert une coupe tous les matins et tous les soirs la propagande.

Il va sans dire que je considère comme un devoir et comme un honneur de faire écho à son cri. "

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vendredi 24 juillet 2015

Annonce de la sortie prochaine du "Choc des ethnies"

          

Je vous annonce la sortie en Octobre-Novembre 2015 de mon nouvel ouvrage intitulé « Le choc des ethnies » avec en sous-titre « Vers le génocide des Français ». S’il n’est pas censuré, ce traité fera l’effet d’une bombe lancée sur la société du mensonge.
                                                                           
           Un danger mortel menace les Français. Ils ne le savent pas. Ils ne veulent pas voir les multitudes qui se rassemblent sous la bannière de l’islamisme. Ils n’entendent pas le porte-parole du Califat qui appelle au meurtre de tous les infidèles. Ces menaces émanent d'enragés mais on sait bien que les minorités activistes contaminent souvent une majorité. Les crimes de Mohamed Merah, des frères Kouachi, de Coulibaly et de bien d’autres ne signalent-ils pas l’imminence de ce basculement ? Doit-on se résigner à voir les synagogues et des églises gardées en permanence par la police et l’armée ? Peut-on ignorer l’antisémitisme des banlieues qui oblige de nombreux juifs à quitter la France ? Pour quelles raisons le sort qui attend les Français serait-il différent de celui des chrétiens d’Orient ? Au nom de quoi seraient-ils immunisés contre une telle catastrophe ? Alors que les attentats contre un journal satirique auraient dû susciter un légitime sursaut, des millions de compatriotes ont préféré se rassembler pour brandir des crayons et clamer leur refus de tout amalgame au nom du « Vivre ensemble » ! Que peut-on faire pour combattre cette inconscience qui prédispose notre pays à connaître une issue fatale ?

          Ce traité veut désenvoûter les Français en privilégiant une approche économique qui plonge ses racines dans les profondeurs du temps et de l’espace. Les hommes ne vivent pas dans un jardin d’Éden où tous les biens seraient disponibles à profusion. Certains groupes renforcent leur agressivité pour s’en emparer par la conquête tandis que d’autres s’appuient sur le commerce et le progrès technique. Toute l’histoire est ainsi celle de la lutte des ethnies pour s’approprier les ressources nécessaires à leur survie.
        
           De nos jours, l’économie repose sur le progrès technique mais que se passe-t-il lorsqu’il accroît les inégalités entre peuples d’une manière considérable ? Certaines ethnies ne disposent pas d’assez de scientifiques et d’inventeurs pour se développer. Elles se regroupent au nom de l’islam pour obtenir par la violence ce qu’elles sont incapables d’acquérir par leurs talents. Cette confrontation ethnique est comparable à celles qui ont marqué le passé. Elle se traduit toujours par l’invasion d’un territoire et la sujétion de ses habitants. Autrefois, on conservait parfois les vaincus pour servir comme esclaves. Depuis que les machines les ont remplacés, le risque de leur extermination devient plus grand. Des solutions existent pour conjurer la menace génocidaire mais qui aura le courage de les appliquer tant qu’il en est encore temps ?

          Notre impuissance actuelle résulte d’une idéologie malfaisante qui postule que les ethnies sont semblables, qu'elles aspirent à vivre ensemble et que les Européens portent la responsabilité de tous les crimes du passé. Nos compatriotes en viennent à se haïr et ce masochisme obscène incite les autres à nous agresser. Que nous le voulions ou non, l’homme est d’abord un animal régi par les lois de la sélection naturelle et de la lutte pour la vie. L’évolution enseigne qu’au sein du monde vivant, certaines races prolifèrent tandis que d’autres s’éteignent pour des raisons diverses. Nous devons bien comprendre que ce darwinisme s’applique aussi à notre espèce par le biais du choc des ethnies. La nature n’est pas tendre avec des zombies qui perdent leur instinct de conservation ! Notre survie exige donc une prise de conscience ethnique de la situation mondiale. Cet essai en donne la propédeutique et il n’est pas encore trop tard pour réagir. Une constellation de citoyens énergiques ne se soumettra jamais ! Tant qu’elle brillera, il restera un chemin pour l’espérance.