vendredi 24 juillet 2015

Annonce de la sortie prochaine du "Choc des ethnies"

          

Je vous annonce la sortie en Octobre-Novembre 2015 de mon nouvel ouvrage intitulé « Le choc des ethnies » avec en sous-titre « Vers le génocide des Français ». S’il n’est pas censuré, ce traité fera l’effet d’une bombe lancée sur la société du mensonge.
                                                                           
           Un danger mortel menace les Français. Ils ne le savent pas. Ils ne veulent pas voir les multitudes qui se rassemblent sous la bannière de l’islamisme. Ils n’entendent pas le porte-parole du Califat qui appelle au meurtre de tous les infidèles. Ces menaces émanent d'enragés mais on sait bien que les minorités activistes contaminent souvent une majorité. Les crimes de Mohamed Merah, des frères Kouachi, de Coulibaly et de bien d’autres ne signalent-ils pas l’imminence de ce basculement ? Doit-on se résigner à voir les synagogues et des églises gardées en permanence par la police et l’armée ? Peut-on ignorer l’antisémitisme des banlieues qui oblige de nombreux juifs à quitter la France ? Pour quelles raisons le sort qui attend les Français serait-il différent de celui des chrétiens d’Orient ? Au nom de quoi seraient-ils immunisés contre une telle catastrophe ? Alors que les attentats contre un journal satirique auraient dû susciter un légitime sursaut, des millions de compatriotes ont préféré se rassembler pour brandir des crayons et clamer leur refus de tout amalgame au nom du « Vivre ensemble » ! Que peut-on faire pour combattre cette inconscience qui prédispose notre pays à connaître une issue fatale ?

          Ce traité veut désenvoûter les Français en privilégiant une approche économique qui plonge ses racines dans les profondeurs du temps et de l’espace. Les hommes ne vivent pas dans un jardin d’Éden où tous les biens seraient disponibles à profusion. Certains groupes renforcent leur agressivité pour s’en emparer par la conquête tandis que d’autres s’appuient sur le commerce et le progrès technique. Toute l’histoire est ainsi celle de la lutte des ethnies pour s’approprier les ressources nécessaires à leur survie.
        
           De nos jours, l’économie repose sur le progrès technique mais que se passe-t-il lorsqu’il accroît les inégalités entre peuples d’une manière considérable ? Certaines ethnies ne disposent pas d’assez de scientifiques et d’inventeurs pour se développer. Elles se regroupent au nom de l’islam pour obtenir par la violence ce qu’elles sont incapables d’acquérir par leurs talents. Cette confrontation ethnique est comparable à celles qui ont marqué le passé. Elle se traduit toujours par l’invasion d’un territoire et la sujétion de ses habitants. Autrefois, on conservait parfois les vaincus pour servir comme esclaves. Depuis que les machines les ont remplacés, le risque de leur extermination devient plus grand. Des solutions existent pour conjurer la menace génocidaire mais qui aura le courage de les appliquer tant qu’il en est encore temps ?

          Notre impuissance actuelle résulte d’une idéologie malfaisante qui postule que les ethnies sont semblables, qu'elles aspirent à vivre ensemble et que les Européens portent la responsabilité de tous les crimes du passé. Nos compatriotes en viennent à se haïr et ce masochisme obscène incite les autres à nous agresser. Que nous le voulions ou non, l’homme est d’abord un animal régi par les lois de la sélection naturelle et de la lutte pour la vie. L’évolution enseigne qu’au sein du monde vivant, certaines races prolifèrent tandis que d’autres s’éteignent pour des raisons diverses. Nous devons bien comprendre que ce darwinisme s’applique aussi à notre espèce par le biais du choc des ethnies. La nature n’est pas tendre avec des zombies qui perdent leur instinct de conservation ! Notre survie exige donc une prise de conscience ethnique de la situation mondiale. Cet essai en donne la propédeutique et il n’est pas encore trop tard pour réagir. Une constellation de citoyens énergiques ne se soumettra jamais ! Tant qu’elle brillera, il restera un chemin pour l’espérance.